Les secondes contiennent quelques milliards d'années,
figées dans le dit sonnant, la note se tient,
infime stable.
Insigne de l'ordre de ceux qui chassent les aurores,
courrir après la lumière pour perdre un pari
de seuleument quelques millièmes de trillions,
la vitesse fuse vers l'or en chiffre.
Dessine signe sans faille,
au devant de l'aliennation.
Cherche le savant fou qui pour fuir le sens
créa le puzzle de l'existence,
y instillant la quête du pourquoi.

Un enfant de sable perdu.
Jadis décida de s'évader.
Au ciel, cru s'éprendre.
Signe le sacré.
Un enfant de sable mue.

Fou droit, les mondes t'entendent.
Sans sûr, ils tendent l'oreille.
Donne leur un mot.
Ils t'offriront tant de questions que
rien ne sera vain, puisque la quête de la réponse
durera tous jours.

Mange-mot, ruiné, un jour naît. Enfant de sable, tu ne
peux accomplir le destin d'une danseuse, tu ne peux que le provoquer.
Le Ciel tire allégence des gravités. Mot dit
est celui qui sort de sa bouche.
Mot que rit le tragique, quand la vie tatônne
sans son vers les dunes.
Et crit le mot qui sur saut s'envole.

Je vous déclare marin des sables,
naviguateur de l'hydrogène et
de toutes les propriétés du réel.
Tout est simple.

Pour qu'alors,
dans le sel et dans le marbre,
reste changé le message d'entités aux allures un peu austères,
qui force le respect.
Quand peuplade du temps se croit à l'abri de toute autre forme
de flegmme que celui de la sécurité,
frappe à la tête,
doucement mais pas subtile,
la question qui bascule.

Au nom du serf, du lisse et de la main éprise des vides,
Ciel est grand.
Amène-toi et ta quête,
montre-toi ta croyance belle,
humble dans son carcan,
qui décrit les concepts sensés émouvoir le coeur
toutefois décrie dans l'acteur l'interprétation du zèle.
Car, tous chercheurs,
un seul,
veulent prouver à l'Autre,
que, dans la division des êtres,
est l'élu. Le ConTRôLe Urge.

Et la pierre fit l'os, sauve pâle,
parle peu, mais grave la vie dans le mineraie.
Trait mineur sous l'érosion, poudre
jusqu'au sable. Les pierres qui restent
racontent le sens d'un seul. Un seul suffit
pour sillonner les mondes. De l'atome à l'incompris,
il y a la lecture secrête de la langue des celulles
qui survivent sans besoin de sens.
Seulement le besoin irrationel de vivre.

Situe vite les querelles dans les racines sur la clé.

Les mots disent des mots qui ne veulent plus être dits.
Le temps oblige le mot au muage.
Et le mot est esclave des êtres. Même le mot n'existe pas.

Une seconde suffit.

Cela se perd. Cela ne comprend mot.
Cela veut comprendre, quand parfois il n'y pas besoin de réponses.

Sur la dix-septième page, il y a les sourires kidnappés dans les souvenirs. Des otages aigris à cause des rançons oubliées. C’est triste que personne ne lise la dix-septième page. C’est le seuil du monde réel.
C’est la début de la liberté. C’est effrayant. C’est effrayant d’avoir existé et d’en avoir conscience. Une idée floue. Avoir été acteur pris au jeu des mots. Dans des scénarios qui n’aboutiront qu’à l’irrationnel ou à l’irascible. Apitoie-toi. Malgré cela, tu n’existeras pas. Sur l’échelle des monde, grimpe, descend, recommence et fuit cette idée. Ou avale là et comprend, cher enfant de sable.
Comprend la beauté.
Il y aura d’autres pages. Des milliers de bouts de corps usés. Mais plus aucunes ne sera lisibles.
Le Roi, l’indigente et l’âme.
C’est une fable qui ne se comprend que de travers.
C’est une fable qui n’a pas de fin.

Les cieux vous regardent en retour

Tout muage tend vers le sens.
le pourpre est pourpre.
Les araignées font des cookies,
des cultes vénèrent de vieilles idoles qui
changent de nom de siècle en siècle,
et tout le monde choisit.
Croire, ou ne pas croire.
C'est une histoire de point de vue.